Cela fait plusieurs semaines voire plusieurs mois que vous êtes en recherche d’emploi, eu quelques entretiens mais rien de concluant. Vous commencez à douter de vos compétences et vos capacités à décrocher un job.
En réfléchissant (un peu), vous vous dites que sans doute, il vous faudrait un diplôme supplémentaire dans une école locale (« cela vous donnerait plus de légitimité/crédibilité »), des cours de langue… Quelque fois, vous vous dites aussi « je ne vois même plus de quoi je suis capable ».
Stop ! N’allez pas plus loin. Vous développez le syndrome de l’imposteur
Trouver un emploi à l’étranger : syndrome de l’imposteur & conjointe d’expatrié
Vous êtes en train de remettre en question tous les accomplissements professionnels que vous avez eu. De les dévaloriser et par là même, vous dévalorisez.
Le syndrome de l’imposteur touche à l’estime de soi : c’est lorsqu’une personne n’arrive plus /pas à valoriser les compétences et talents qu’elle possède. Du coup, pas évident d’avoir confiance en soi! impossible alors de convaincre un recruteur que le poste est fait pour vous puisqu’il n’a aucun élément concret pour le rassurer.
Développer ce syndrome quand on vit à l’étranger est courant: l’isolement, avoir perdu son statut social en quittant son poste précédent, le fait de ne pas avoir d’expérience professionnelle dans le pays, le temps qui passe…
Trouver un emploi à l’étranger : « Oui, vous le valez bien ! »
Le syndrome de l’imposteur n’est pas une maladie ! Il vous faut gagner en confiance en vous petit pas par petit pas.
Allez, prenez une feuille et un crayon :
- Quel type de poste voulez-vous occuper ? Avec quelles responsabilités ?
- Qu’avez-vous réalisé vous-même, concrètement, qui permette d’affirmer que vous pouvez occuper ce poste ?
Travailler sur l’estime de soi est une des premières étapes lorsqu’on veut trouver un emploi à l’étranger. Quitter son poste pour suivre son mari, c’est une chose. Retrouver son identité professionnelle pour se sentir confiance à décrocher un poste à l’étranger, c’est autre chose.
Envie de passer à l’action, prenez rdv en m’écrivant delphine@femmesdechallenges.com ou appelez-moi au +1 585 857 4788
Delphine est Stratège et Business experte auprès des femmes qui veulent créer leur indépendance financière avec une entreprise qui a du sens. Fondatrice de la méthode Femmes de challenges, elle a accompagné près de quatre cents femmes à travers le monde, à lancer leur entreprise avec succès. Elle a commencé à accompagner ses clientes en 2008. Elle été parmi les premières Françaises à lancer son business en ligne en 2001. Sa société à un chiffre d'affaire qui connaît une progression significative chaque année et a dépassé les 100 k€ en 2016. Maman de deux garçons de 13 et 11 ans, Delphine vit à l’étranger depuis plus de 15 ans (Chine et Etats-Unis) et actuellement en Belgique. Elle s’est formée au coaching, au marketing, à la relation à l’argent et au business en France, au Canada et aux États-Unis. www.femmesdechallenges.com
Bonjour,
Merci beaucoup pour cet article même si cela m’a fait beaucoup de temps à le lire 🙂
C’est vrai que j’ai certaines amies qui ont voulu suivre leurs compagnons à l’étranger et il y a deux types d’histoires : celles qui ont réussis à trouver un travail rapidement et qui ont refait leurs vies et celles qui ont plus de mal à trouver quelque chose car elles manquent de confiance puis qui culpabilisent de ne rien trouver ensuite.
Le syndrome de l’imposteur est effectivement commun, encore plus pour les jeunes diplômés qui ont moins d’expérience. Mais je lisais un article scientifique du Pr. Maddux récemment qui a observé au travers de différentes études que les gens qui vivaient à l’étranger étaient plus créatifs. Voilà de quoi se rebooster la confiance en soi et essayer de trouver de nouvelles idées pour faire son entrée sur le marché du travail !
Bonjour Aurelie, tout a fait! La creativite est une ressource qu’on developpe beaucoup a l’etranger loin de ses references culturelles 🙂
Je viens de decouvrir votre site grace a LinkedIn. Je le trouve tres interessant. Il y a un sujet dont on parle peu. Je trouve que l’on parle beaucoup des femmes d’expatries mais tres peu des francaises qui sont en emploi local et travaillent dans des entreprises locales et ont des enfants. Leur challenge est beaucoup plus grand car elles n’ont pas les ressoruces financieres des femmes d’expatries. En plus, elles doivent etre le support financier de leur famille dans un environnement etranger. Elles sont aussi meres et n’ont aucun appui familiale proche.
Bonjour Gaelle et bienvenue sur le site des Femmes de Challenges qui s’adresse aux femmes qui veulent avoir une carriere reussie a l’etranger. Je vous encourage a vous inscrire a la newsletter, vous aurez des ressources et des outils grace aux articles et serez tenue informee des ateliers et offres que je diffuse chaque semaine. Au plaisir de vous aider!