Pendant des années, j’ai tenu à faire du 1 to 1 :
• Parce que mes clientes achetaient mes programmes après m’avoir rencontrée,
• Parce qu’elles voulaient avoir accès à moi pour que je les accompagne,
• Parce que je suis une femme orientée résultats et que j’ai des attentes élevées, tout comme mes clientes. Je voulais être certaine qu’elles obtiennent les meilleurs résultats,
• Parce que j’aime les discussions en tête-à-tête durant lesquelles on se dit les « vraies choses ».

Je pensais donc que je ne pouvais pas déléguer mes coachings, même si j’en avais régulièrement envie.

Mais le problème, c’est que :
😱 Je vivais un vrai dilemme : je voulais vraiment leur permettre d’avoir les meilleurs résultats, mais j’avais l’impression de refaire toujours la même chose,

😱 Cela limitait mon chiffre d’affaires, car mon énergie variait entre l’envie d’avoir plus de clientes et un sentiment de lassitude,

😱 Lorsque j’avais mes séances, je n’avais plus assez de temps pour la réflexion stratégique et la gestion de ma communication.

Et puis, un jour, je me suis donnée la permission grâce à l’accompagnement en gestion financière avec Laure Matsoukis. 🤩

Et là, tout a changé :

✅ J’ai délégué mes séances individuelles dans un de mes programmes et je me suis rendue compte que mes clientes y gagnaient vraiment : nous étions deux à les accompagner avec des postures différentes,

✅ J’ai retrouvé plus de joie : j’avais résolu mon dilemme !

✅ J’ai eu plus de temps pour développer ma stratégie,

✅ J’ai découvert d’autres moyens pour accompagner plus de clientes tout en maintenant le même niveau de résultats : faire intervenir des expertes dans mes programmes, créer une plateforme avec des tutoriels, créer une communauté de soutien, etc.

J’ai vraiment pris conscience de la limite à privilégier le 1 to 1 avec moi.

Et vous, que pourriez-vous envisager pour ne plus faire que du 1 to 1 ?

Vous avez besoin d’aide pour trouver le business modèle qui vous correspond ? Travaillons cela ensemble. Prenez rdv en cliquant sur le lien situé sous l’article.