Jeudi, c’est inspiration! – Florence (Mes bonnes copines)

Par Delphine le 12.07.2014

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Jeudi, c’est inspiration : ce qui nous manque, c’est d’avoir des modèles, des personnes qui osent voir grand et réaliser leurs rêves. Chaque jeudi, je vais vous partager des personnes que je trouve inspirantes parce qu’elles osent + elles persévèrent + elles ont des résultats… Et tout ça parce que ce qu’elles font, elles le font parce que cela a du sens pour elles.

Aujourd’hui, je voulais mettre les projecteurs sur Florence qui a crée un vrai mouvement mondial HALLUCINANT avec Mes bonnes copines! Nous nous sommes rencontrées grâce aux réseaux sociaux!

florenceInitiatrice de l’association La Tribu des Jeunes Créateurs à 18 ans à peine, elle poursuit sa formation au CELSA. Elle devient ensuite attachée de collection de la Maison Chanel avant de se lancer dans l’aventure et de fonder en 2000, à 23 ans, la Tribu des Créateurs, agence de direction et production artistique. Début 2012, Florence Haxel fonde www.mesbonnescopines.com « Coups de pouce entre superwomen », le premier réseau social d’entraide entre femmes. Un start up atypique qui propose aux femmes de partager leurs talents sous la forme de coups de pouce gratuits. Lancé en juin 2012, le site propose déjà plus de 13 500 services en ligne et compte 30 000 membres!

Quelle dynamique t’animait pour créer à 17 ans ton premier réseau qui est devenu par la suite ton entreprise?

Je pense que, me concernant, c’était une question de nature… Disons que petite, lorsque l’on jouait à la maîtresse, c’était moi qui faisait la maîtresse ! J’aime organiser, diriger, réaliser. J’aime imaginer des mécaniques, des processus. Et je pense surtout être une optimiste, je crois fondamentalement que si j’ai un rêve, il est toujours possible de le réaliser. Il faut juste mettre en place le processus efficace pour y arriver.

Dès 15 ans, je rêvais de travailler dans l’univers artistique, de créer des spectacles, de vivre des moments magiques dans les coulisses. Alors tout simplement, j’ai d’abord monté à 17 ans une association qui avait pour vocation d’aider des jeunes artistes à se mettre en relation avec des professionnels : La Tribu des Jeunes Créateurs. J’ai ainsi commencé à créer et réaliser des spectacles. Puis, comme cela fonctionnait, j’ai simplement transformé mon activité associative en société afin de pouvoir vivre de ma passion. L’entreprenariat n’était pas pour moi une fin en soi mais un moyen de réaliser un rêve.

Pour ma seconde société, c’est une mécanique un peu différente. J’ai monté ce projet car je sentais que je m’épanouissais moins dans ma première structure, que j’étais arrivée au bout de quelque chose. Ce fut le détonateur à mon envie de changement, avant de trouver l’idée du concept qui m’a porté par la suite. 

Quelles ont été les étapes du changement? Les difficultés? Qu’est-ce qui t’a aidéà avancer et qui t’a épaulé?

Pour ma première entreprise, tout s’est joué autour d’une rencontre. J’ai rencontré une jeune femme passionnée d’art. Elle venait de terminer une école de commerce et travaillait en tant que cadre dans les RH à la SNCF. Elle rêvait de travailler dans le domaine artistique. Nous avons décidé d’associer nos compétences et nos passions en lançant la Tribu des Créateurs en société.

La difficulté principale était de de démarrer from scratch ! Je n’avais aucun réseau, aucune connaissance, juste l’envie viscérale de faire. Le développement de la société a donc forcément duré relativement longtemps car j’apprenais mon métier en même temps que je le faisais. L’autre problématique fut le départ de mon associée après un an de travail en commun (et zéro euros de chiffre d’affaires). J’ai eu un moment de doute et j’ai finalement décidé de continuer toute seule. C’était trop vital pour moi.

Je n’avais jamais peur. Aujourd’hui, je suis plus consciente et plus angoissée, même si je cours toujours après l’adrénaline.

Pour ma seconde entreprise, les choses sont plus simples. Comme nous sommes dans un projet de start up et que j’ai plus d’expérience, toutes les étapes sont beaucoup plus ramassées dans le temps.

Aujourd’hui, la difficulté principale est que j’ai plus de responsabilités familiales et donc des besoins financiers plus importants. A l’époque de ma première entreprise, je pouvais vivre sans salaire. Aujourd’hui je ne le peux plus et c’est une pression constante. Je suis sans cesse dans l’urgence du chiffre d’affaires.

Aujourd’hui, ce qui m’aide, c’est le sens que je trouve dans ce nouveau projet. Il me donne la sensation d’œuvrer bien plus que pour moi-même. J’ai une cause qui me coule dans les veines, une mission. Ma relation fabuleuse avec mon associé, empreinte de respect et de partage m’aide beaucoup aussi.

Où en es-tu aujourd’hui concrètement? De quoi es-tu satisfaite?

En ce qui concerne La Tribu des Créateurs, cette structure existe depuis 12 ans, elle fait vivre trois collaboratrices, trois stagiaires et plusieurs dizaines d’intermittents par mois. J’ai un peu moins peur du lendemain et pourtant … Je travaille actuellement à dépasser le palier qui me permettrait d’être plus rassurée sur l’avenir, d’avoir moins d’incertitudes sur les six mois à venir. De quoi suis-je satisfaite ? Que le téléphone sonne tout seul. Que des clients pensent à nous appeler pour nous faire travailler. Pour moi, c’est la plus belle et la plus simple des récompenses, la preuve que nous faisons du bon travail.

Quant à ma seconde entreprise, je suis encore aux prémices de l’aventure de cette start up. C’est très excitant et très angoissant en même temps, mais je n’aurais pas pu ne pas le vivre, cela fait partie de moi. Je suis heureuse que le concept parle à autant de femmes… Et la magie qui ressort des nombreux petits mots que je reçois quotidiennement de la part de parfaites inconnues… 🙂

Finalement, je me rends compte en répondant à cette question que mes satisfactions n’ont rien à voir avec une dimension purement financière. Ce que j’aurais pu penser à priori. 🙂

En conclusion, quels seraient tes conseils pour des femmes qui seraient en plein doute?

Rêvez ! La vie est courte, précieuse… Le travail prend beaucoup d’heures dans une journée. Et il peut devenir l’un des plus beaux moyens de se réaliser, alors autant en profiter ! Alors, rêvez… Et ensuite, entourez-vous, mettez au point votre plan d’attaque pour réaliser ce rêve et lancez-vous… Ça paraît très simpliste comme vision des choses… Peut-être… Mais cela rend le rêve à portée de tous/toutes! Pas besoin de grandes études, de venir d’une grande famille, de rentrer dans les schémas types, je crois que nous avons tous un joli destin à se dessiner entre les mains…

Florence
www.mesbonnescopines.com
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Vous avez aimé ce témoignage et souhaiteriez en lire d’autres? Téléchargez ce ebook : 

 

 

                         

 

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Aujourd’hui, je voulais mettre les projecteurs sur Florence qui a crée un vrai mouvement mondial HALLUCINANT avec Mes bonnes copines! Nous nous sommes rencontrées grâce aux réseaux sociaux!

florenceInitiatrice de l’association La Tribu des Jeunes Créateurs à 18 ans à peine, elle poursuit sa formation au CELSA. Elle devient ensuite attachée de collection de la Maison Chanel avant de se lancer dans l’aventure et de fonder en 2000, à 23 ans, la Tribu des Créateurs, agence de direction et production artistique. Début 2012, Florence Haxel fonde www.mesbonnescopines.com « Coups de pouce entre superwomen », le premier réseau social d’entraide entre femmes. Un start up atypique qui propose aux femmes de partager leurs talents sous la forme de coups de pouce gratuits. Lancé en juin 2012, le site propose déjà plus de 13 500 services en ligne et compte 30 000 membres!

Quelle dynamique t’animait pour créer à 17 ans ton premier réseau qui est devenu par la suite ton entreprise?

Je pense que, me concernant, c’était une question de nature… Disons que petite, lorsque l’on jouait à la maîtresse, c’était moi qui faisait la maîtresse ! J’aime organiser, diriger, réaliser. J’aime imaginer des mécaniques, des processus. Et je pense surtout être une optimiste, je crois fondamentalement que si j’ai un rêve, il est toujours possible de le réaliser. Il faut juste mettre en place le processus efficace pour y arriver.

Dès 15 ans, je rêvais de travailler dans l’univers artistique, de créer des spectacles, de vivre des moments magiques dans les coulisses. Alors tout simplement, j’ai d’abord monté à 17 ans une association qui avait pour vocation d’aider des jeunes artistes à se mettre en relation avec des professionnels : La Tribu des Jeunes Créateurs. J’ai ainsi commencé à créer et réaliser des spectacles. Puis, comme cela fonctionnait, j’ai simplement transformé mon activité associative en société afin de pouvoir vivre de ma passion. L’entreprenariat n’était pas pour moi une fin en soi mais un moyen de réaliser un rêve.

Pour ma seconde société, c’est une mécanique un peu différente. J’ai monté ce projet car je sentais que je m’épanouissais moins dans ma première structure, que j’étais arrivée au bout de quelque chose. Ce fut le détonateur à mon envie de changement, avant de trouver l’idée du concept qui m’a porté par la suite. 

Quelles ont été les étapes du changement? Les difficultés? Qu’est-ce qui t’a aidéà avancer et qui t’a épaulé?

Pour ma première entreprise, tout s’est joué autour d’une rencontre. J’ai rencontré une jeune femme passionnée d’art. Elle venait de terminer une école de commerce et travaillait en tant que cadre dans les RH à la SNCF. Elle rêvait de travailler dans le domaine artistique. Nous avons décidé d’associer nos compétences et nos passions en lançant la Tribu des Créateurs en société.

La difficulté principale était de de démarrer from scratch ! Je n’avais aucun réseau, aucune connaissance, juste l’envie viscérale de faire. Le développement de la société a donc forcément duré relativement longtemps car j’apprenais mon métier en même temps que je le faisais. L’autre problématique fut le départ de mon associée après un an de travail en commun (et zéro euros de chiffre d’affaires). J’ai eu un moment de doute et j’ai finalement décidé de continuer toute seule. C’était trop vital pour moi.

Je n’avais jamais peur. Aujourd’hui, je suis plus consciente et plus angoissée, même si je cours toujours après l’adrénaline.

Pour ma seconde entreprise, les choses sont plus simples. Comme nous sommes dans un projet de start up et que j’ai plus d’expérience, toutes les étapes sont beaucoup plus ramassées dans le temps.

Aujourd’hui, la difficulté principale est que j’ai plus de responsabilités familiales et donc des besoins financiers plus importants. A l’époque de ma première entreprise, je pouvais vivre sans salaire. Aujourd’hui je ne le peux plus et c’est une pression constante. Je suis sans cesse dans l’urgence du chiffre d’affaires.

Aujourd’hui, ce qui m’aide, c’est le sens que je trouve dans ce nouveau projet. Il me donne la sensation d’œuvrer bien plus que pour moi-même. J’ai une cause qui me coule dans les veines, une mission. Ma relation fabuleuse avec mon associé, empreinte de respect et de partage m’aide beaucoup aussi.

Où en es-tu aujourd’hui concrètement? De quoi es-tu satisfaite?

En ce qui concerne La Tribu des Créateurs, cette structure existe depuis 12 ans, elle fait vivre trois collaboratrices, trois stagiaires et plusieurs dizaines d’intermittents par mois. J’ai un peu moins peur du lendemain et pourtant … Je travaille actuellement à dépasser le palier qui me permettrait d’être plus rassurée sur l’avenir, d’avoir moins d’incertitudes sur les six mois à venir. De quoi suis-je satisfaite ? Que le téléphone sonne tout seul. Que des clients pensent à nous appeler pour nous faire travailler. Pour moi, c’est la plus belle et la plus simple des récompenses, la preuve que nous faisons du bon travail.

Quant à ma seconde entreprise, je suis encore aux prémices de l’aventure de cette start up. C’est très excitant et très angoissant en même temps, mais je n’aurais pas pu ne pas le vivre, cela fait partie de moi. Je suis heureuse que le concept parle à autant de femmes… Et la magie qui ressort des nombreux petits mots que je reçois quotidiennement de la part de parfaites inconnues… 🙂

Finalement, je me rends compte en répondant à cette question que mes satisfactions n’ont rien à voir avec une dimension purement financière. Ce que j’aurais pu penser à priori. 🙂

En conclusion, quels seraient tes conseils pour des femmes qui seraient en plein doute?

Rêvez ! La vie est courte, précieuse… Le travail prend beaucoup d’heures dans une journée. Et il peut devenir l’un des plus beaux moyens de se réaliser, alors autant en profiter ! Alors, rêvez… Et ensuite, entourez-vous, mettez au point votre plan d’attaque pour réaliser ce rêve et lancez-vous… Ça paraît très simpliste comme vision des choses… Peut-être… Mais cela rend le rêve à portée de tous/toutes! Pas besoin de grandes études, de venir d’une grande famille, de rentrer dans les schémas types, je crois que nous avons tous un joli destin à se dessiner entre les mains…

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