Comment tout a commencé, il y a 3 ans et demi, septembre 2007

Par Delphine le 23.03.2011

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A moins d’un an du terme de notre contrat d’expatriation en Chine et à quatre mois d’accoucher, je me suis sentie au pied du mur, paniquée : comment me vendre ou quelles compétences/talents mettre en avant, dans ma recherche d’emploi, une fois revenue en Europe (notre destination n’était pas encore définie)?

Je ne savais pas répondre !!

Ce que je savais, c’est que je ressentais une forme d’urgence et de  besoin d’y voir plus clair sur ce que je pouvais offrir professionnellement. Je voulais me sentir actrice dans ma future recherche d’emploi.

Ce qui me faisait peur et douter :

  • L’expérience de recherche d’emploi que j’avais vécu en Belgique (ma 1ère expatriation!)

J’avais quitté mon poste de Responsable Ressources Humaines dans une SSII à Paris pour rejoindre mon futur mari à Bruxelles. Je suis arrivée pleine d’amour évidemment 🙂 et aussi d’entrain professionnel. Je me disais que Bruxelles était une capitale plus internationale que Paris et j’étais positive sur ma recherche d’emploi.

Rapidement, la réalité m’a rattapée : en travaillant dans le domaine des ressources humaines, il faut parler la langue des salariés et en Belgique : Français, Anglais…et Flamand.

Oups! Alors, mon anglais était rouillé mais j’étais motivée. Le flamand, je ne connaissais pas. Je me suis donc inscrite à des cours du soir mais sans grande conviction….

J’ai passé quelques entretiens, les semaines passaient, puis les mois…Au bout de cinq mois, j’avais le moral « dans les chaussettes ». Je doutais complètement de mes compétences et de mes capacités.

  • Je ne savais pas pour quel type de poste postuler

Auparavant, en poste à Paris, j’étais déjà en recherche d’emploi depuis plusieurs mois mais faute d’offre enthousiasmante et d’idée précise de ce que je recherchais, je n’arrivais pas à mettre de l’énergie dans la recherche.

Par la suite, à Shanghai, j’ai appris énormément et adoré beaucoup d’aspects de mon poste de consultante dans un cabinet de chasseurs de tête et organisation en ressources humaines mais je ne me voyais pas repostuler dans ce type d’emploi.

Comme dans le poste que j’occupais à Paris, j’avais compris dans quels domaines j’étais à l’aise et que j’aimais vraiment (aider les salariés à être bien dans leur travail, identifier leurs talents et ce qu’ils souhaitent vraiment faire) mais cela n’occupait pas une part important de mes emplois.

Ce qui me rassurait « un petit peu » :

C’était l’attitude que j’avais eu en arrivant à Shanghai : active et déterminée.

Evidemment, le problème de langue s’est posée mais cette fois, pas question pour moi que ce soit un barrage! Je me suis rapidement posée « une question fondamentale » : qu’est-ce que doit contenir au minimum le poste que je recherche? Une réponse s’est imposée : « le contact humain » J’ai donc démarré ma recherche d’emploi avec un seul objectif en tête, trouver un poste répondant au minimum à ce critère. J’étais enfin dans l’action et claire dans ce que je souhaitais atteindre. En deux mois, j’avais un poste de consultante dans un cabinet de chasseurs de tête et en organisation RH et j’étais ravie.

Face à tout ce constat, je ne me voyais pas réflechir seule. Je voulais être aidée par un professionnel qui me permettrait d’envisager toutes les solutions qui s’offraient à moi et repartir en ayant vraiment l’impression d’être sûre de mon choix.

J’avais participé à des ateliers de développement professionnel (j’aime toujours beaucoup apprendre sur moi :-)) avec 2 coachs et j’ai rencontré l’une d’entre elles. J’avais une vague idée de ce qu’était le coaching à ce moment-là.

Le courant est passé entre nous et nous avons commencé. L’objectif que je voulais atteindre : identifier ma « carte d’identité professionnelle » afin d’être sûre de mes talents et compétences lorsque je me présenterais sur le marché du travail de retour en Europe.

Avec le recul :

  • Je crois que c’est vraiment à ce moment que mon moteur « être actrice de ma vie » s’est déclenché. Je voulais me positionner en « apporteuse d’une offre de valeur » et non pas subir ma recherche d’emploi.
  • Ce qui me faisait peur et douter a aussi été ce qui m’a fait AGIR
  • Je savais que les domaines des ressources humaines et développement personnel étaient les bons.
  • J’avais un début d’idée de ce que j’aimais vraiment faire. Un métier avec des contacts humains.
  • Le fait de devenir maman m’a donné plus de maturité et une confiance plus grande dans l’écoute de qui j’étais.

Voilà, la première étape de mon cheminement vers la découverte de ce qui me passionne professionnellement aujourd’hui. Continuons le dialogue avec vos questions, vos commentaires, vos partages, vos interrogations…. via ce blog, via la page facebook Femmes de Challenges.

D’autres articles vont suivre chaque semaine pendant un mois.

Comment tout a commencé, il y a 3 ans et demi, septembre 2007

Par Delphine le 23.03.2011

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A moins d’un an du terme de notre contrat d’expatriation en Chine et à quatre mois d’accoucher, je me suis sentie au pied du mur, paniquée : comment me vendre ou quelles compétences/talents mettre en avant, dans ma recherche d’emploi, une fois revenue en Europe (notre destination n’était pas encore définie)?

Je ne savais pas répondre !!

Ce que je savais, c’est que je ressentais une forme d’urgence et de  besoin d’y voir plus clair sur ce que je pouvais offrir professionnellement. Je voulais me sentir actrice dans ma future recherche d’emploi.

Ce qui me faisait peur et douter :

  • L’expérience de recherche d’emploi que j’avais vécu en Belgique (ma 1ère expatriation!)

J’avais quitté mon poste de Responsable Ressources Humaines dans une SSII à Paris pour rejoindre mon futur mari à Bruxelles. Je suis arrivée pleine d’amour évidemment 🙂 et aussi d’entrain professionnel. Je me disais que Bruxelles était une capitale plus internationale que Paris et j’étais positive sur ma recherche d’emploi.

Rapidement, la réalité m’a rattapée : en travaillant dans le domaine des ressources humaines, il faut parler la langue des salariés et en Belgique : Français, Anglais…et Flamand.

Oups! Alors, mon anglais était rouillé mais j’étais motivée. Le flamand, je ne connaissais pas. Je me suis donc inscrite à des cours du soir mais sans grande conviction….

J’ai passé quelques entretiens, les semaines passaient, puis les mois…Au bout de cinq mois, j’avais le moral « dans les chaussettes ». Je doutais complètement de mes compétences et de mes capacités.

  • Je ne savais pas pour quel type de poste postuler

Auparavant, en poste à Paris, j’étais déjà en recherche d’emploi depuis plusieurs mois mais faute d’offre enthousiasmante et d’idée précise de ce que je recherchais, je n’arrivais pas à mettre de l’énergie dans la recherche.

Par la suite, à Shanghai, j’ai appris énormément et adoré beaucoup d’aspects de mon poste de consultante dans un cabinet de chasseurs de tête et organisation en ressources humaines mais je ne me voyais pas repostuler dans ce type d’emploi.

Comme dans le poste que j’occupais à Paris, j’avais compris dans quels domaines j’étais à l’aise et que j’aimais vraiment (aider les salariés à être bien dans leur travail, identifier leurs talents et ce qu’ils souhaitent vraiment faire) mais cela n’occupait pas une part important de mes emplois.

Ce qui me rassurait « un petit peu » :

C’était l’attitude que j’avais eu en arrivant à Shanghai : active et déterminée.

Evidemment, le problème de langue s’est posée mais cette fois, pas question pour moi que ce soit un barrage! Je me suis rapidement posée « une question fondamentale » : qu’est-ce que doit contenir au minimum le poste que je recherche? Une réponse s’est imposée : « le contact humain » J’ai donc démarré ma recherche d’emploi avec un seul objectif en tête, trouver un poste répondant au minimum à ce critère. J’étais enfin dans l’action et claire dans ce que je souhaitais atteindre. En deux mois, j’avais un poste de consultante dans un cabinet de chasseurs de tête et en organisation RH et j’étais ravie.

Face à tout ce constat, je ne me voyais pas réflechir seule. Je voulais être aidée par un professionnel qui me permettrait d’envisager toutes les solutions qui s’offraient à moi et repartir en ayant vraiment l’impression d’être sûre de mon choix.

J’avais participé à des ateliers de développement professionnel (j’aime toujours beaucoup apprendre sur moi :-)) avec 2 coachs et j’ai rencontré l’une d’entre elles. J’avais une vague idée de ce qu’était le coaching à ce moment-là.

Le courant est passé entre nous et nous avons commencé. L’objectif que je voulais atteindre : identifier ma « carte d’identité professionnelle » afin d’être sûre de mes talents et compétences lorsque je me présenterais sur le marché du travail de retour en Europe.

Avec le recul :

  • Je crois que c’est vraiment à ce moment que mon moteur « être actrice de ma vie » s’est déclenché. Je voulais me positionner en « apporteuse d’une offre de valeur » et non pas subir ma recherche d’emploi.
  • Ce qui me faisait peur et douter a aussi été ce qui m’a fait AGIR
  • Je savais que les domaines des ressources humaines et développement personnel étaient les bons.
  • J’avais un début d’idée de ce que j’aimais vraiment faire. Un métier avec des contacts humains.
  • Le fait de devenir maman m’a donné plus de maturité et une confiance plus grande dans l’écoute de qui j’étais.

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