Avoir un business en ligne : pour qui, comment, pourquoi et quand ?

Par Delphine le 23.04.2020

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Est-ce que vous avez envie de générer des revenus grâce à une activité qui vous permettrait de vous sentir utile tous les jours ? C’est ce que je me disais en 2009. J’avais (enfin J !) trouvé ce que je voulais faire et je voulais passer à la deuxième phase : vivre de ce métier ! Sauf que je ne voulais pas être salariée, je ne voyais pas d’autre option. Je pensais que les entrepreneurs avaient le gène dès la naissance donc, ce n’était pas pour moi :).

J’ai découvert qu’effectivement, l’alternative au salariat est l’entreprenariat et que, contrairement à ce que je pensais, ça pouvait s’apprendre ! Avec le recul de mes 11 années d’entreprenariat, je suis vraiment contente d’avoir compris ça et d’avoir accepté d’apprendre, et aussi, avec la période que nous vivons actuellement, je sais que toutes les femmes qui sauront saisir la chance de développer un business en ligne auront réellement saisi une des plus belles opportunités qui leur est offerte aujourd’hui. Je vous explique, dans ma vidéo de cette semaine, pour qui est fait le business en ligne, comment s’y prendre, pourquoi c’est une opportunité extraordinaire et quel est le meilleur moment pour s’y lancer.

Je veux vous partager ce qui a motivé Cynthia, Stéphane et Lisa à rejoindre le programme Croissance cette semaine:

« [Après les mesures sanitaires annoncées par le gouvernement] …, il m’est apparu comme une évidence qu’il était juste et bon pour moi de mettre à profit ce temps de confinement pour intégrer le programme Croissance et véritablement lancer mon activité, voire même de la repenser avec l’opportunité d’un concept de séances en ligne au vu des circonstances. » – Stéphane

« J’avais fait le programme Starter il y a quelques mois, j’avais bien avancé, mais, je ressentais le besoin de continuer à être challengée et continuer à apprendre ce dont j’ai besoin pour faire décoller ma boîte (comment faire des rdv découverte, les préparer, comment conclure, comment faire le suivi…).Aussi, j’ai décidé de rejoindre le programme Croissance parce que cela fait trop d’années que j’ai pris le réflexe de « rester à ma place ». Aujourd’hui, je veux prendre ma place ! Du coup, suite au confinement et à l’arrêt de toutes nos activités, l’argent que je réservais pour du « au cas où », j’ai décidé de l’investir en moi 🙂 » – Lisa

« Mon projet avançait doucement et des blocages récurrents apparaissaient. Avec les échéances qui se rapprochaient, j’ai réalisé que j’avais besoin d’un guide et d’une méthode plutôt que d’expérimenter par moi-même. J’étais en cours d’ajustement des étapes de mon projet pour m’adapter au confinement. J’ai donc « senti » que c’était le moment et que ça allait me permettre justement d’avancer sur la partie que je pensais traiter en septembre et que j’avais décidé de traiter now et sur laquelle j’étais déjà bloquée en janvier, et encore en mars et avril….
L’échange avec une cliente de Delphine, qui m’a retracé la même hésitation, les mêmes avancées et blocages, et report d’accompagnement et son constat fut qu’elle avait perdu du temps. Les appels hebdo et les challenges l’avaient aidée à se structurer et avancer. Et ça m’a fait prendre conscience de 2 choses : que j’irai plus vite accompagnée avec quelqu’un d’expérimenté pour aligner tout mon projet ». – Cynthia

Si vous aussi, vous voulez (enfin !) prendre votre place, avancer plus rapidement et mettre à profit cette période, rencontrons-nous pour en parler ! Prenez rdv dès aujourd’hui (c’est gratuit et sans engagement mais uniquement pour les motivées :)) : je prends rdv 

Avoir un business en ligne : pour qui, comment, pourquoi et quand ?

Par Delphine le 23.04.2020

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Est-ce que vous avez envie de générer des revenus grâce à une activité qui vous permettrait de vous sentir utile tous les jours ? C’est ce que je me disais en 2009. J’avais (enfin J !) trouvé ce que je voulais faire et je voulais passer à la deuxième phase : vivre de ce métier ! Sauf que je ne voulais pas être salariée, je ne voyais pas d’autre option. Je pensais que les entrepreneurs avaient le gène dès la naissance donc, ce n’était pas pour moi :).

J’ai découvert qu’effectivement, l’alternative au salariat est l’entreprenariat et que, contrairement à ce que je pensais, ça pouvait s’apprendre ! Avec le recul de mes 11 années d’entreprenariat, je suis vraiment contente d’avoir compris ça et d’avoir accepté d’apprendre, et aussi, avec la période que nous vivons actuellement, je sais que toutes les femmes qui sauront saisir la chance de développer un business en ligne auront réellement saisi une des plus belles opportunités qui leur est offerte aujourd’hui. Je vous explique, dans ma vidéo de cette semaine, pour qui est fait le business en ligne, comment s’y prendre, pourquoi c’est une opportunité extraordinaire et quel est le meilleur moment pour s’y lancer.

Je veux vous partager ce qui a motivé Cynthia, Stéphane et Lisa à rejoindre le programme Croissance cette semaine:

« [Après les mesures sanitaires annoncées par le gouvernement] …, il m’est apparu comme une évidence qu’il était juste et bon pour moi de mettre à profit ce temps de confinement pour intégrer le programme Croissance et véritablement lancer mon activité, voire même de la repenser avec l’opportunité d’un concept de séances en ligne au vu des circonstances. » – Stéphane

« J’avais fait le programme Starter il y a quelques mois, j’avais bien avancé, mais, je ressentais le besoin de continuer à être challengée et continuer à apprendre ce dont j’ai besoin pour faire décoller ma boîte (comment faire des rdv découverte, les préparer, comment conclure, comment faire le suivi…).Aussi, j’ai décidé de rejoindre le programme Croissance parce que cela fait trop d’années que j’ai pris le réflexe de « rester à ma place ». Aujourd’hui, je veux prendre ma place ! Du coup, suite au confinement et à l’arrêt de toutes nos activités, l’argent que je réservais pour du « au cas où », j’ai décidé de l’investir en moi 🙂 » – Lisa

« Mon projet avançait doucement et des blocages récurrents apparaissaient. Avec les échéances qui se rapprochaient, j’ai réalisé que j’avais besoin d’un guide et d’une méthode plutôt que d’expérimenter par moi-même. J’étais en cours d’ajustement des étapes de mon projet pour m’adapter au confinement. J’ai donc « senti » que c’était le moment et que ça allait me permettre justement d’avancer sur la partie que je pensais traiter en septembre et que j’avais décidé de traiter now et sur laquelle j’étais déjà bloquée en janvier, et encore en mars et avril….
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