L’exemple du profil « atypique » est le parcours professionnel qui n’a pas suivi une ligne droite « cohérente ». Personnellement, je n’ai entendu parler de ce concept que depuis que je vis à l’étranger et depuis quelques années seulement. Plus je regardais et me documentais sur le sujet et plus je m’apercevais qu’effectivement le fait de vivre à l’étranger et de vouloir travailler demande de réinventer sa conception du travail et de ses savoir-faire.
Par contre, avoir un parcours atypique n’est pas vu comme une bonne chose par ces conjoints « suiveurs », en particulier (mais pas seulement), parce qu’ils ont peur de ne plus être employable une fois de retour en France.
Je voudrais vous partager mon point de vue sur ce sujet, en tant qu’ancienne responsable ressources humaines et surtout en tant qu’experte en transition de carrière vivant à l’étranger depuis 10 ans.
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